FRANCE, NORD, BAVAY



France, Nord, Bavay, cité gallo-romaine

France, Nord, Bavay, cité gallo-romaine

BAVAY, CITE GALLO-ROMAINE

Les élèves de cinquième A du CES. Jean Lemaire vous proposent un dossier sur Bagacum, leur ville, capitale de la cité des Nerviens à l'époque gallo-romaine.
Nous avons préparé ce dossier au cours des séances réservées aux 10%, qui nous ont permis d'abord de visiter les vestiges archéologiques et le Musée, ensuite de présenter des exposés, puis de rédiger et d'illustrer ce dossier.
Nous remercions notre professeur d'Histoire et de Géographie, M. J.-C. CARMELEZ, qui nous a aidés à me-ner notre travail à son terme et qui nous a procuré les documents d'Illustration.
Nous espérons que nos camarades lecteurs d'Arnis-Coop se pencheront, avec autant d'intérêt que nous en avons pris à la réaliser, sur cette étude relative à la vie de notre cité à l'époque gallo-romaine.

NOTRE VILLE AUJOURD'HUI

Bavay est un chef-lieu de canton de près de 5 000 habitants, situé à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au croisement des R.N. 49 (Valenciennes-Maubeuge) et 32 (Paris-Bruxelles). Elle possède un lycée et un C.E.S. qui porte le nom d'un poète bavaisien, Jean Lemaire de Belges, né en 1473, et qui fut historiographe de Marguerite d'AUtriche, gouvernante des Pays-Bas.
C'est un bourg agricole. Néanmoins, on y trouve quelques activités industrielles.
Mais la renommée de Bavay vient surtout de ce qu'elle possède le plus important site archéologique du Nord de la Gaule et, depuis 1976, un musée spécialisé qui a accueilli 17 000 élèves au cours de la seule année scolaire 1976-1977.

HISTOIRE DE LA CITÉ DE BAVAY DANS L'ANTIQUITÉ GALLO-ROMAINE

Après avoir difficilement soumis le pays, les Romains choisirent le site de Bavay pour y bâtir Bagacum, capitale du territoire des Nerviens, qui devint rapidement un carrefour routier important : 7 chaussées y aboutissaient, venant de Reims, de Vermand (Saint-Quentin) et de Cambrai, de Tournai et d'Asse, en Belgique, de Trèves et de Cologne, en Allemagne. Le tracé de quelques-unes de ces routes, dont la rectitude étonne toujours, est encore partiellement suivi par les R.N. 39 (Cambrai-Bavay-Trèves), 32 (Vermand-Bavay-Cologne) et 361 (Bava y-Reims).
Bavay, Carrefour de 8 routes.jpg
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Dès le milieu du premier siècle, Bavay s'urbanise. Un réseau de rues se croisant à angle droit, selon un plan souvent utilisé par les Romains, délimita les quartiers d'une surface d'un hectare (110m x 120m).
Bavay, plan de Bavay dans l'Antiquite.jpg
Bavay, plan de Bavay dans l'Antiquite .jpg

La ville, couvrant huit hectares s'organisa autour d'un centre, formé par le croisement de deux rues principales nord-sud (cardo) et est-ouest (decumanus), où fut établi le forum (place publique). Autour se développèrent des îlots d'habitations, au sud-ouest et au nord-est s'étendirent les zones artisanales, aux limites de la ville enfin, on aménagea les cimetières.
Dès la fin du Ier siècle de notre ère, Bagacum fut dotée de thermes (bains publics), après qu'on eut construit un aqueduc, qui amenait l'eau de quelque vingt kilomètres.
La ville était alors devenue un centre administratif, mais aussi un centre économique important. Ainsi, durant près de deux siècles, Bagacum connut la prospérité.
Partiellement détruite à la fin du IIe siècle, la cité se releva rapidement de ses ruines : on rebâtit les monuments, on réaménagea les rues, et la vie reprit. Toutefois, à partir de 235, l'insécurité s'installa dans l'Empire Romain, surtout dans le Nord de la Gaule : anarchie militaire, invasions barbares obligèrent les Bavaisiens à transformer le centre de leur ville en place forte, l'entourant d'un mur de défense flanqué de tours.
Bagacum perdit alors ses fonctions de capitale, au profit de Cambrai. Elle ne put résister à la grande invasion de 406, qui mit fin à son histoire antique.
De cette brillante période, les témoins reparaissent progressivement, grâce aux fouilles qui sont pratiquées chaque année, et dès maintenant, plusieurs parties des principaux monuments sont visibles, tandis que les objets décuverts sont exposes au musée.

LE CENTRE DE LA VILLE

Bavay, Centre ville, Forum.jpg
Bavay, Centre ville, Forum.jpg

Au cours de notre visite des vestiges archéologiques qui s'étendent sur près de trois hectares, nous avons pu imaginer ce qu'était le centre d'une ville à l'époque gallo-romaine.

Au coeur de Bagacum donc se trouvait la place publique ou forum (1) autour duquel étaient rassemblés les principaux monuments de la cité, où s'exerçaient les activités politiques, administratives, religieuses et commerciales.
La place occupait une surface d'environ 500 m² ; elle était dallée de belles pierres bleues du pays; c'était un lieu de réunion et un centre commercial, puisque au nord et au sud de cette place, s'alignaient des rangées de boutiques (2) adossées qui ouvraient, soit vers la place elle-même sur un portique couvert, soit vers les rues (8) et terrasses (9) qui couraient à l'extérieur.
Bavay, rue empierree d'epoque romaine, au premier plan, restes d'une fontaine.jpg
Bavay, rue empierree d'epoque romaine, au premier plan, restes d'une fontaine.jpg

Cinquante-deux petits magasins offraient là aux badauds des marchandises variées.
A l'est s'élevait un immense bâtiment de 80 m de long et de 30 m de large (3) auquel on accédait par un escalier monumental : c'était la basilique civile où l'on rendait la justice, où l'on faisait le marché et où l'on flânait par mauvais temps - photo en bas à gauche: vestiges de la basilique civile- A l'est et au sud de cette basilique, s'élevaient encore une trentaine de boutiques (4).
A l'ouest de la place en existait une autre, de 60 m de côté (5), au milieu de laquelle s'élevait le temple (6). Encadrant cette place sur trois côtés, on voyait un bâtiment (7) à colonnades ou portique, dont les fondations à demi-enterrées étaient aménagées en lieux de promenade; ces fondations sont appelées les cryptoportiques; ce sont les vestiges les plus impressionnants, comprenant des piliers bâtis de moellons bleus séparés par des lits de briques rouges, piliers qui supportaient les voûtes de ces galeries longues de 60 m, larges de près de 10 m.
Bavay, Restes des fondations du portique et de l'edifice à nefs.jpg
Bavay, Restes des fondations du portique et de l'edifice à nefs.jpg

Adossées aux portiques nord et sud, s'ouvraient encore vers les rues (8) et terrasses (9) voisines, 28 boutiques. Il y avait également, à l'ouest, un vaste édifice à nefs, peut-être la curie (10).
Bavay, vestiges de la basilique civile.jpg
Bavay, vestiges de la basilique civile.jpg

Au sud du forum, nous avons vu les restes à peine dégagés d'un quartier artisanal et commercial : au croisement de deux rues empierrées, se trouvaient les restes d'une fontaine. Des trottoirs dallés couraient le long des constructions, dont une cave au sol percé d'une sorte de puits.
Certes, il ne reste aujourd'hui que des fondations, mais elles permettent d'imaginer la splendeur de cette ville.
D'importants vestiges du Bas-Empire subsistent également : il s'agit de la fortification élevée autour du forum, qui subsiste sur plusieurs mètres de hauteur au sud et à l'ouest notamment.
Bavay, Reste du rempart du Bas-Empire.jpg
Bavay, Reste du rempart du Bas-Empire.jpg

Cette muraille large de plusieurs mètres en certains endroits, était renforcée de place en place par des tours. On accédait à la forteresse par un passage situé au sud et défendu par deux tours semi-cylindriques. Sans doute le passage était-il fermé par un système de porte et de herse.
De cette période troublée subsistent encore une belle voie dallée de pierres bleues, creusées d'ornières, ainsi que des restes de l'esplanade aménagée à l'emplacement du temple.
En parcourant les salles du Musée, nous avons pu admirer des centaines d'objets et nous représenter les divers aspects de la vie des Bavaisiens à l'époque galloromaine.

LE CADRE DE VIE

Les maisons aux murs de pierre ou de torchis - argile mêlée à de la paille hachée - étaient couvertes de tuiles de deux modèles (plates et creuses), parfois de plaques d'ardoise; pour les demeures modestes, le chaume servait de couverture.
Le chauffage était dispensé par le système des hypocaustes. A partir d'un foyer, la chaleur était envoyée sous le carrelage des pièces d'habitation, puis dans les murs par des conduits qui y étaient placés; parfois, on utilisait de simples braseros.
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L'HYPOCAUSTE : 1 : Foyer; 2 : Pilettes soutenant le dallage; c'est là que passaient la chaleur et la fumée; 3 : Le dallage; 4 : Les conduits servant à évacuer la fumée; 5 : Les murs; 6 : Le revêtement intérieur des pièces.

Des carreaux de terre cuite, du marbre, parfois un pavement de mosaïque, recouvraient le sol, tandis que les murs étaient souvent décorés de motifs peints, appliqués sur un mortier lissé, à base de chaux.
Des grilles protégeaient les fenêtres vitrées et les autres ouvertures de la maison, tandis que des portes munies de serrures en fermaient les accès.
Sous l'habitation était souvent ménagée une cave aux murs percés de niches, tandis que dans les pièces communes devaient se trouver coffres et meubles décorés de poignées et de lamelles de bronze. Candélabres, lampes à huile - photo ci-dessus, à droite - et bougeoirs en métal ou en terre cuite dispensaient un éclairage assez médiocre sans doute.
A l'office et dans la salle à manger, la maîtresse de maison disposait pour préparer ses repas et accueillir ses hôtes d'importantes batteries de cuisine, et de services de tables variés, en métal ou en terre cuite : marmites et pots à cuire, poêlons ou casseroles, plats, cruches et bouteilles, assiettes, bols, tasses et gobelets devaient remplir le vaisselier, ainsi que de nombreux couverts en métal ou en os.

LE VÊTEMENT, LA PARURE, LES SOINS CORPORELS

Si les notables portaient la toge, les artisans, eux, revêtaient la tunique, plus commode pour travailler; pour le voyage, le birrhus nervien, sorte de manteau à capuchon, avait sans doute la faveur. Les élégantes portaient la stola, ou robe à plis, qu'elles maintenaient grâce à des agrafes, ou des fibules - sortes de broches aux formes variées et souvent jolies -; des ceintures, munies de boucles finement décorées, servaient parfois aussi à retenir les vêtements. Aux pieds, on ajustait des sandales légères, mais les hommes chaussaient le plus souvent des bottines aux semelles cloutées.
Après s'être longuement baignés dans les thermes, les Bavaisiens d'alors prenaient soin de leur corps: ils éliminaient toute trace de sueur à l'aide de strigiles, sortes de racloirs en os ou en bronze, se curaient les oreilles, s'épilaient ou se rasaient la barbe avec un rasoir de bronze; parfois, on les frictionnait avec des huiles et des parfums contenus dans de petites bouteilles en verre.
Devant leur miroir en métal argenté, les dames se peignaient, puis fixaient leur chignon à l'aide d'épingles en os ou en bronze, finement décorées; elles se paraient ensuite de colliers faits de perles de verre, ou en terre cuite, de bracelets en métal, en os, ou en jais, de broches et de bagues dont certaines rehaussées de pierres gravées ou intailles.
Si les Romains prenaient grand soin de leur corps, il semble qu'ils aient porté toute leur attention à la bonne santé de leurs yeux. On a retrouvé à Bavay plusieurs petits blocs de pierre dont les tranches portaient des incriptions en creux; on appelle ces blocs des cachets d'oculistes. Les inscriptions donnent le nom du médecin oculiste, celui du médicament prescrit, ainsi que le mode d'emploi. Voici la traduction des inscriptions portées sur I'un d'eux : « Collyre diamisus de Claudius Fiditius lsodorus pour les anciennes cicatrices. Collyre à base de myrrhe à employer après le premier accès.» Le médecin appliquait les inscriptions sur le médicament, le texte ainsi imprimé était une véritable ordonnance.

L'ENFANT

Nous avons découvert dans les vitrines peu d'objets ayant appartenu à des enfants. Quelques récipients en terre cuite, munis d'une sorte de petit bec verseur, sont nommés «vases biberons»: sans doute servaient-ils à allaiter des nourrissons Un petit cheval à roulettes en terre blanche, quelques sifflets ou fluteaux taillés dans l'os, des jetons taillés dans la même matière semblent avoir servi à divertir des enfants plus âgés.
C'est peut-être à un écolier qu'appartenaient deux tablettes, en bois, et quelques stylets de bronze : on enduisait ces tablettes de cire, sur laquelle on écrivait avec les stylets; ces tablettes étaient reliées comme le sont aujourd'hui les feuilles d'un cahier.

ARTISANS ET COMMERÇANTS

De très nombreux artisans exercèrent à Bagacum des activités très variées. Beaucoup furent des potiers qui travaillaient dans les quartiers sud-ouest, là où furent retrouvés de nombreux fours et les restes d'un atelier comprenant, notamment, un séchoir.
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FOUR DE POTIER GALLO-ROMAIN: 1. Foyer - 2. Surface de chauffe - 3. Chambre de cuisson - 4. Partie supérieure de la chambre de cuisson, détruite pour défourner les poteries.

Là aussi étaient les verriers.
Bavay, Recipients en verre.jpg
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Les uns et les autres tournaient ou soufflaient de la vaisselle aux formes et aux usages variés : services de table, bouteilles et cruches, jarres et dolia pour conserver l'eau ou le grain, tèles pour écrémer le lait, broyeurs pour préparer la soupe, et quantité d'autres récipients. Mais les Bavaisiens d'alors ne se contentaient pas de cette vaisselle commune; ils recherchaient la belle vaisselle de luxe, importée du sud du Massif central, connue sous le nom de sigillée ou, plus tard, la céramique à reflet métallique fabriquée dans l'est de la Gaule et le long du Rhin.
Bavay, Vase en terre sigille, fabrique a Lezoux, dans le Massif Central.jpg
Bavay, Vase en terre sigille, fabrique a Lezoux, dans le Massif Central.jpg

Des bronziers fondaient aussi de la vaisselle, mais ils excellaient dans la fabrication de poignées de meubles et même de statuettes votives.
Bavay, Poignee de coffre ou de meuble en bronze, decoree de figures humaines.jpg
Bavay, Poignee de coffre ou de meuble en bronze, decoree de figures humaines.jpg

Des forgerons fabriquaient les instruments aratoires et forestiers, tandis que des artisans tiraient de l'os toutes sortes d'objets, depuis les charnières de coffrets jusqu'aux manches de couteaux.
Bavay, Lot d'epingles taillees dans de l'os.jpg
Bavay, Lot d'epingles taillees dans de l'os.jpg

Chaussures et vêtements étaient confectionnés par des cordonniers et des tisserands, ces derniers formant une importante corporation, dont les produits étaient renommés dans tout l'empire.
Il faut ajouter à tout ce monde du travail les carriers, bûcherons, charpentiers, maçons, briquetiers et marbriers, qui édifiaient les bâtiments.
Bavay, une magnifique serie de lampes a huile exposees au Musee.jpg
Bavay, une magnifique serie de lampes a huile exposees au Musee.jpg

Tant d'activités artisanales entraînaient un actif commerce qui se faisait dans les échoppes et les boutiques qui se pressaient autour et à proximité du forum. En plus des productions de l'artisanat et de la vaisselle d'importation, les commerçants s'activaient à la vente de denrées alimentaires : grains, viandes, huîtres et coques acheminés de la mer, huiles et vins expédiés d'Espagne et de la Narbonnaise, dans de grandes amphores. Outre les Bavaisiens, les habitants des campagnes voisines venaient aussi s'approvisionner, notamment à l'occasion des marchés.

LA VIE RELIGIEUSE

Si, du temple, ne subsistent que de rares morceaux d'architecture, en revanche, de nombreuses statuettes représentant des divinités, quelques inscriptions et autres objets permettent d'imaginer quelle était la vie religieuse d'alors.
Les Gallo-Romains étaient polythéistes, c'est-à-dire qu'ils adoraient de nombreux dieux, qui étaient classés en plusieurs catégories. Au sommet de la hiérarchie, venaient les dieux de la religion d'État, bien représentée au Musée : Jupiter, Mars, le dieu de la guerre, Mercure coiffé de son pétase (petit chapeau à ailes), Vulcain, dieu des Enfers, Minerve; il faut ajouter à ce panthéon d'anciennes divinités gauloises, comme Epona, la déesse des chevaux et des cavaliers, ou orientales, comme Harpocrate, ou encore Attis et Cybèle.
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Bavay, Statuette en bronze, Mercure.jpg

Tard venu dans la région, le christianisme est peu représenté.
Parallèlement au culte d'État, les Bavaisiens d'alors rendaient aussi un culte aux divinités locales : les Mères nerviennes d'une part, le Génie de la Cité des Nerviens d'autre part, deux cultes locaux attestés par des inscriptions.
Enfin, dans chaque demeure, on célébrait la religion familiale, ou culte du foyer, rendu aux dieux lares, protecteurs du foyer et aux dieux mânes des ancêtres de la famille, dont le souvenir était rappelé sur les pierres tombales, sous la forme abrégée D. M.
Bavay, Statuette en bronze d'un dieu lare.jpg
Bavay, Statuette en bronze d'un dieu lare.jpg


LES MORTS

Ils étaient enterrés dans des nécropoles situées le long des chaussées, en dehors des limites de la ville. Une fois incinérés sur ùn bûcher, les restes des défunts étaient recueillis dans des urnes funéraires, de nature et de forme très variées: vases en terre cuite, en verre, coffres en plomb ou auge en pierre. Ces urnes, accompagnées des objets familiers du défunt, de ses bijoux, de ses jouets, s'il s'agissait d'un enfant, souvent d'une pièce de monnaie - sorte d'obole à Charon - étaient déposées dans des sépultures faites de tuiles plates ou de pierres formant un coffre. Pour rappeler la mémoire des défunts aux passants, les familles aisées recouvraient la sépulture d'une pierre tombale, sur laquelle étaient gravés le nom, la filiation, parfois la profession. du défunt. Dans certaines villes, on a élevé à la mémoire de notables défunts de véritables monuments, à Saint-Rémy-les-Antiques, par exemple.

De cette visite intéressante, nous avons retenu beaucoup d'indications sur la vie des anciens habitants de notre ville.
Nous espérons que notre dossier vous incitera, si vous n'avez pas encore tenté de le faire, à rechercher le passé de votre ville.
Tous les sites ne présentent évidemment pas autant d'intérêt que celui de Bavay, il en est cependant, et ils sont nombreux, que les leçteurs d'Amis-Coop aimeraient certainement découvrir.






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Bavay, Vase en terre sigille, fabrique a Lezoux, dans le Massif Central.jpg

Bavay, Vue aerienne (photo Michel Passebeck. (Collection Air-Images)).jpg

Bavay, Vue aerienne du site (photo Michel Passebeck. (Collection Air-Images)).jpg

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Bavay, rue empierree d'epoque romaine, au premier plan, restes d'une fontaine.jpg

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L'article sur Bavay, par Amis-Coop (01).jpg

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